[Vidéo] Essai - DS 3 Crossback, l’original


Pour se démarquer de ses concurrents, le dernier-né de DS joue la carte de l’originalité. Reprenant un certain nombre de caractéristiques de son grand frère DS 7, il ne laisse pas indifférent.

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À la fois citadin et voyageur, le petit SUV de DS détient de solides arguments pour séduire les amateurs de premium. La marque a en effet mis le paquet sur le design de ce nouveau modèle. La puissante calandre chromée, la ligne de caisse brisée et la forte allure du DS 3 Crossback sont atypiques sur ce segment. Le modèle inaugure même certains équipements comme des poignées de porte affleurantes ou les phares LED Matrix Vision. Sous le capot, le moteur trois cylindres turbo Puretech 130 ch de notre essai couplé à la boîte EAT8 est énergique, pour une consommation constatée d’environ 6 l/100 km et un taux d’émissions de CO2 en dessous du seuil du malus écologique. Compact et léger, le petit SUV se conduit avec plaisir grâce à une direction précise et un dynamisme assumé.
À l’intérieur aussi la marque chamboule les codes. À tel point, qu’il faut compter une semaine pour s’habituer à l’environnement et au poste de conduite. À l’exception de l’activation des feux de détresse ou du système multimédia, tous les boutons de commande disposés sous la dalle sont tactiles. Moderne oui, mais les gestes sont incertains, et le grand écran tactile HD 10,3 pouces disponible de série sur la version business n’offre pas de menu. Cette légère perte de repères est vite compensée par la sensation de confort, tant pour le conducteur que son passager.

Le confort avant tout

En effet, DS ne fait pas de concession sur ce point avec des sièges enveloppants équipés de mousse haute densité pour filtrer les aspérités de la chaussée. Une fois en route vient s’ajouter le « feutré » des suspensions. L’insonorisation a elle aussi été poussée au maximum avec une épaisseur de tôle augmentée au niveau des portes, une zone d’extraction d’air travaillée, des épaisseurs de vitrage renforcées et un pare-brise acoustique. Un minimum pour un véhicule dont les prix débutent à 28 600 euros en finition Business. On regrettera toutefois à l’arrière la visibilité restreinte due à une diminution de la surface vitrée.

Source : L’Automobile & L’Entreprise

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